Mais peut-être convient-il de reprendre la notion de relativité des conceptions qui sont à la base des langues.
Ainsi, pourquoi les formations de collectif et d’abstrait sont-elles de genre féminin ?
Je vous met la chatte d’Ariel en gros plan alors, mais vous êtes relous. Nous pensons avoir fait le tour du phénomène des Princesses Disney, non ?
[A l’occasion du débat qui agite ces derniers mois la France sur la question de l’écriture dite « inclusive », voici la nouvelle version, revue par son auteur, d’un article paru dans le n° 125 (octobre 2010) de 1 « Vous avez une jolie chatte. » Un genre grammatical est : a) un principe de classification b) un principe de liaison syntaxique par le phénomène de l’accord.
Un petit animal traverse vivement la route, et je m’écrie : « Tiens, un chat ! Seule la féminité dispose vraiment d’un genre grammatical !
2 Une femme dispose du féminin et aussi du masculin Passons au problème de l’accord.